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8 montres portées dans l'espace

En dépit d'avoir plus de 50 ans, l'exploration de l'espace reste cool cool. Lance Bass malgré tout, le titre d'Astronaute (née Cosmonaut) tient bien sa place en tant que carte maîtresse ultime en matière de métiers. De même, le titre "montre de l'espace" est plus qu'une simple image de marque. La torture a été testée pour exceller dans les environnements les plus inhospitaliers, ces garde-temps sont conçus pour résister à des changements instantanés de 200 degrés de température, d'humidité acide et de forces g extrêmes (chocs jusqu'à 40 Gs). Tout comme les explorateurs qui les portent , il n'y a que quelques chanceux qui ont mérité une reconnaissance spéciale. Ce sont nos huit choix des meilleures montres spatiales (ou leur réinterprétation moderne) disponibles pour le reste de vous rêveurs là-bas.

À remontage manuel ou automatique, une montre mécanique peut sembler un instrument archaïque pour les voyages dans l'espace. Le Halda Space Discovery (baptisé du nom de son voyage sur la navette Discovery ) comprend deux «modules» interchangeables, le Space Module (électronique) et le module mécanique, pour offrir à la fois une technologie de pointe et un héritage. Le Space Module est équipé d'un boîtier TECAMEX propriétaire, d'un accéléromètre, d'un lecteur g-force et d'un capteur de lumière (ainsi que du chronographe standard) pour informer les astronautes et les missions à temps. Le module mécanique est une affaire plus simple alimentée par un mouvement automatique de vieux stock qui peut ensuite être permuté pour les affaires terrestres.

L'attention des Teutoniques au détail de Sinn donne souvent ce que les amateurs considèrent comme des montres indestructibles - il n'est donc pas surprenant que leurs garde-temps puissent survivre à un petit voyage au-delà de notre atmosphère. Le Sinn 140 A Space Chronograph est un rafraîchissement en édition limitée de la montre qui a voyagé avec l'astronaute Reinhard Furrer lors de la dernière mission réussie de Challenger . Une lunette tournante interne de style supercompresseur, une aiguille unique au chronomètre au centre et l'utilisation du gaz Argon par Sinn pour éliminer l'humidité se combinent pour donner à ce chronographe une technologie zéro-G impressionnante.

L'apparition de l'Omega Speedmaster Professional sur cette liste ne devrait surprendre personne. Son pedigree a été gravé dans les annales de notre histoire - ainsi que dans son propre dossier. Vol qualifié par les procédures d'essai rigoureuses de la Nasa le 1er mars 1965, le Speedmaster Professional a très peu changé au cours de sa vie. Le mouvement reste un chronographe à remontage manuel et, tandis que les puristes rechercheront le calibre 321 original qui accompagnait Buzz Aldrin sur la Lune, les nouvelles versions alimentées par les 861 et 1861 ne sont pas moins dignes d'attention. En plus d'être la première montre portée sur la lune, l'emblématique Omega a été utilisé pour toutes les missions humaines Gemini et Apollo, ainsi que pour les voyages à Skylab et le projet d'essai Apollo Soyuz. Le dernier membre de la famille Speedmaster,

Un coup d'œil aux poignets de n'importe lequel des cosmonautes diplômés du Centre de Formation des Cosmonautes Youri Gagarine au cours des 20 dernières années révélerait une montre Fortis. La chronographe officielle Cosmonauts Fortis B-42 emploie un mouvement automatique Valjoux 7750 pour alimenter son chronographe à trois registres; La protection anti-choc Incabloc et la résistance à l'eau jusqu'à 200m signifient que cette montre spatiale de 42 millimètres ne se rompra pas lors des éclaboussures en haute mer. Une version en titane modifiée extrêmement limitée (300 pièces) peut également être obtenue, avec la première alarme mécanique au monde et la désignation de chronomètre COSC.

Lui et ses collègues portaient les Speedmasters de la NASA lors de la mission Apollo 15 de 1971; Au cours de sa deuxième excursion à la surface de la lune, le cristal est sorti du Speedy du commandant de mission Dave Scott. Scott avait emballé son propre Bulova Chronograph personnel comme une sauvegarde, et il l'a utilisé pendant sa prochaine promenade lunaire, en faisant la seule montre privée à être portée sur la surface de la lune. Pour 2016, Bulova a reconstitué fidèlement la montre, animée par le mouvement chronographe à quartz à haute cadence de la marque.

Tandis que les montres mécaniques commandent la plus grande partie de notre attention à la fois sur le plan terrestre et au-delà, les montres numériques ont aussi fait leur marque dans l'espace, souvent portées en conjonction avec une sauvegarde mécanique. Le Datalink Timex et divers modèles Casio G-Shock (DW-5600C et 5600E, DW 6900 et DW 5900) ont prouvé leur mérite, méritant la qualification de la Nasa pour les voyages spatiaux habités; Leur facilité d'utilisation, leur robustesse et leur précision indéniable en font un choix naturel pour les voyages dans l'espace, et leurs coûts peu élevés en font un excellent point de départ pour tous les collectionneurs qui économisent encore pour le camp spatial.

Le pilote soviétique Youri Gagarine a été le premier homme à voyager dans l'espace. Sur son poignet se trouvait un Sturmanskie à remontage manuel de 17 diamants fabriqué en Russie. En 2005, le cosmonaute Yuri Shargin s'est appuyé sur une version commémorative des montres pionnières de Gagarine lors de son propre voyage. Le Sturmanskie 2001 B "Gagarine" est propulsé par une variante 25-bijou du mouvement Poljot 3133 qui a fait ses preuves au-delà de notre atmosphère à de nombreuses occasions. Avec un chronographe à deux registres, un cadran UTC de 24 heures à 6h00 et un fond d'exposition, cette montre à remontage manuel en écriture cyrillique est une option économique et riche en patrimoine pour les observateurs les plus occasionnels. .

Au cours de sa première mission spatiale, l'astronaute néerlandais André Kuipers a noté qu'il perdait son sens du temps en orbite - chose courante chez les astronautes. Pour tout sauf éliminer la confusion, Roland Oostwegel R.0.1. L'espace n'a pas seulement affiché l'heure mais aussi communiqué le temps total de la mission en jours et semaines. Il a également ajouté un cadran unique qui décompte une orbite terrestre unique (91 minutes et 59 secondes, pour être précis), une caractéristique qui s'est avérée utile sur la Station spatiale internationale. Les modèles de consommation renoncent au compteur de mission pour une roue de jour / date plus traditionnelle, mais les instruments en fibre de carbone, en titane et en céramique sont toujours construits selon les mêmes normes rigoureuses.

Choix de bonus: Techniquement parlant, le Zenith Stratos Flyback Striking 10th n'a pas voyagé dans l'espace. Attaché au poignet de Felix Baumgartner à 24 milles au-dessus de la terre ferme, il est tombé à environ trente-cinq milles. Cependant, tout comme Pluton, il mérite d'être inclus - il a franchi le mur du son, après tout. Complètement exposé comme Baumgartner est retombé à la Terre à des vitesses supersoniques, le Zénith a été la première montre à entrer nudement dans notre monde à 844 mph. Propulsé par le mouvement automatique à roues à colonnes El Primero 4057 B de 31 rubis, le Striking Tenth est considéré comme l'un des chronographes les plus précis disponibles. À 36 000 vph (vibrations par heure), il peut enregistrer le temps au dixième de seconde - le temps qu'il a fallu à Felix pour couvrir 121,44 pieds à pleine vitesse.